Avec la multiplication de l’intervention de la FED tel que le rachat de Bear Stearns, volant au secours de Fannie Mae et Feddie Mac, on pourrait croire que le mot FED vient davantage du mot FED UP avec l’affaiblissement du système bancaire américain et en l’occurrence du système bancaire mondiale.
AIG la dernière ou l’avant-dernière victime du serial Subprimes vient d’être sauvée par le superman Ben Bernanke et son acolyte Greenspan qui a vu vert en voyant la jolie courbe des actifs détenus par l’assureur qui n’a pas assuré.
Lehman Brothers a bien été un frère de galère mais il a suivi la route du tyrolien du juste prix, c’est-à-dire la « Banckrout » en se cassant la figure…. oups juste des millions partis en fumée et nous sommes les fumeurs passifs.
C’est non pas un simple arrosage mais bien une injection de liquidités au karsher qu’il a fallu entreprendre pour espérer voir de nouveau pousser les fruits de la croissance.
Globalisation et mondialisation sont sur un bateau qui tombe à l’eau ?
Globalisation, noyée dans les bulles spéculatives qu’elle s’est auto-créées.
Joseph Stiglitz avait raison. A laisser la main invisible comme pilote de croisière, l’économie finit par créer ses propres vagues au risque de se noyer.
En effet, La volatilité et la versatilité des bourses mondiales sont une sonnette d’alarme pour laisser le co-pilote étatique reprendre les commandes de l’économie de marché.
La prudence des passagers à bord est de plus en plus un frein à l’activité et donc à la croissance.
Lehman, Merrill Lynch « subpris » par cette crise et achevés le compte ouvert, à qui le tour ???
NOUS peut-être si cela n’est pas déjà le cas ….
